7- La dissolution de l’AFESPED entraînerait une surcharge de travail sur le dos des associations modulaires.
À l’UQAM, il existe une association étudiante modulaire pour chaque département et une association étudiante facultaire pour les facultés qui regroupent un plus grand nombre d’étudiant.es.
Étant donné leur plus grande proximité avec les membres, les associations modulaires sont souvent au cœur de la vie socio-culturelle de leur programme. Les associations facultaires, quant à elles, se chargent plutôt de la gestion financière des services et des assurances, du financement des initiatives étudiantes et de la défense des droits à l’UQAM comme dans la société.
Compte tenu de cette division, les associations modulaires n’ont pas les moyens nécessaires pour reprendre la gestion de toutes les dimensions prises en charge actuellement par les associations facultaires.
Les assurances, les bourses, les subventions ainsi que la gestion financière courante occupent une grande part du travail de l’AFESPED et advenant la dissolution de celle-ci, cette surcharge se retrouverait sur le dos des associations modulaires qui ne disposent ni d’un.e employés administratif, ni de moyens financiers suffisants pour soutenir durablement ce poids.